Embarquement immédiat à San Cesario Sul Panaro dans une petite zone industrielle. Pas très sexy comme endroit au premier abord. Et pourtant, c’est ici que l’on développe, construit et assemble des modèles aux fiches techniques à faire défaillir n’importe quel militant écologiste. Bienvenue chez Pagani ! L’accueil est à la hauteur de la météo du jour, exceptionnel. Elle est là ! Elle, c’est a Pagani Huayra Roadster BC. Intimidante, bestiale, le « wahoo effect » opère immédiatement. Au premier démarrage, le V12 ignée AMG développant plus de 800 chevaux s’ébroue dans une symphonie jouissive. Les premiers tours de roues d’Andrea Palma, le pilote officiel de Pagani, sont des plus agréables dans un véhicule au look d’enfer d’à peine 1250 kg. À écouter le pilote italien, cette Huayra doit être suffisamment confortable pour aller acheter sa baguette de pain le matin et rouler sur circuit l’après-midi. Après quelques accélérations à faire perdre toute capacité de diction, il se met à drifter dans un rond-point. Un mélange d’adrénaline et d’incrédulité nous envahit car l’engin est affiché au tarif de 3,7 millions d’euros. Un départ-arrêté plus tard et une énorme accélération achèveront de convaincre les passionnés d’automobile d’exception. Cette radicalité cache pourtant un véhicule très confortable lorsqu’on roule normalement. La mélodie du moteur résonne comme une symphonie, à plus forte raison en roulant cheveux au vent. Source de l'image : Julien Di Luigi
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