Dès le démarrage, on est fasciné par la symphonie du moteur. Le siège du pilote de la R 18 nous transporte dans les années 1920 au manche d'un avion à hélice, les deux cylindres rappellent visuellement les moteurs en étoile des années passées, et le son du moteur contribue à son tour à nous donner l'impression d'être le Baron Rouge, sans pour autant provoquer de bruit inutile. Ce qui saute aux yeux : du chrome partout, l'engin resplendit sous la lumière. La position d'assise est confortable comme celle d'un chopper, mais peut-être un peu délicate pour les personnes de plus d'1,90 m. La machine propose trois modes de conduite : Rain, Rock et Roll. On ne pouvait pas mieux les décrire. Roll est destiné à une croisière plutôt confortable, tandis qu'avec Rock, on sent surtout que les bras s'allongent, prêts à absorber les chocs. Dès le ralenti, le moteur tire si brutalement qu'on a l'impression de chevaucher un boulet de canon. Si le mot "vague de couple" n'existait pas encore, il faudrait l'inventer pour la R 18. Le compte-tours affiche 1750 tr/min à une vitesse de 80 km/h sur une route de campagne. Le comportement routier est conforme à ce que l'on attend d'un chopper, une trajectoire merveilleusement stable, détendue et sans besoin de vitesse. Le châssis, quant à lui, est typiquement BMW et donc parfaitement conçu. La R 18 sait enthousiasmer et procure un plaisir de conduite incroyable. Si vous voulez vous faire plaisir, n’hésitez pas et malgré son prix, investissez en toute bonne conscience dans la R18.
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